17 décembre 2010
Bonjour chers membres,
C’est avec plaisir que je vous livre ce journal de Noël! Celui-ci est relaxe. Il contient des historiques et des contes…
Au nom de l’équipe et en mon nom je vous souhaite
Joyeuses Fêtes paix, amour, prospérité et santé!
Président
Nous souhaitons aussi un bon anniversaire à Marc Pilon, Claude Fortier, Richard Dion et Henriette Germain!
LES ORIGINES DU PÈRE NOËL
C’est Saint Nicolas qui a inspiré le Père Noël.
On retrouve dans la représentation du Père Noël tout ce qui faisait la symbolique du personnage de Saint Nicolas : la longue barbe blanche, la mitre qui est devenu un bonnet de fourrure, le grand manteau rouge. Il voyage dans un traîneau tiré par des rennes, Saint Nicolas voyageait sur le dos d’un âne. Pour cette raison, dans certaines régions de France, les enfants déposent sous le sapin de Noël, un verre de vin pour le Père Noël et une carotte pour son âne.
Saint Nicolas a été importé aux États-Unis au XVIIe siècle par les immigrés allemands ou hollandais où il aurait pris une l’ampleur commerciale que nous connaissons actuellement, subit des transformations vestimentaires et culturelles pour se transformer en un Père Noël plus convivial et serait ensuite revenu en Europe.
Pour les américains, Saint Nicolas est Sinter Klaas qui devint Santa Claus.
En 1821 : Un pasteur américain, Clément Clarke Moore écrivit un conte de NOËL pour ses enfants dans lequel un personnage sympathique apparaît, le Père Noël, dans son traîneau tiré par huit rennes.
Il le fit dodu, jovial et souriant. Il remplaça la mitre du Saint Nicolas par un bonnet, sa crosse par un sucre d’orge et le débarrassa du Père Fouettard. L’âne fut remplacé par huit rennes fringants.
Mais c’est à la presse américaine que revient le mérite d’avoir réuni en un seul et même être les diverses personnifications dispensatrices de cadeaux.
1823 : L’événement qui contribua certainement le plus à l’unification de ces personnages fut sans aucun doute la publication du fameux poème de Clement Clarke Moore. Intitulé « A Visit From St. Nicholas », ce poème fut publié pour la première fois dans le journal Sentinel, de New York, le 23 décembre 1823. Repris les années suivantes par plusieurs grands quotidiens américains, ce récit fut ensuite traduit en plusieurs langues et diffusé dans le monde entier.
En 1860, Thomas Nast, illustrateur et caricaturiste au journal new-yorkais Harper’s Illustrated Weekly, revêt Santa Claus d’un costume rouge, garni de fourrure blanche et rehaussé d’un large ceinturon de cuir.
En 1885, Nast établissait la résidence officielle du père Noël au pôle Nord au moyen d’un dessin illustrant deux enfants regardant, sur une carte de monde, le tracé de son parcours depuis le pôle Nord jusqu’aux États-Unis.
L’année suivante, l’écrivain américain George P. Webster reprenait cette idée et précisait que sa manufacture de jouets et « sa demeure, pendant les longs mois d’été, est cachée dans la glace et la neige du pôle Nord ».
C’est en 1931, que le Père Noël prit finalement une toute nouvelle allure dans une image publicitaire, diffusée par la compagnie Coca-Cola. Grâce au talent artistique de Haddon Sundblom, le Père Noël avait désormais une stature humaine (le rendant ainsi plus convaincant et nettement plus accessible), un ventre rebondissant, une figure sympathique, un air jovial. La longue robe rouge a été remplacée par un pantalon et une tunique. Ceci est plus marqué aux États-Unis, car en France, le Père Noël a conservé une longue robe rouge.
Coca Cola souhaitait ainsi inciter les consommateurs à boire du Coca Cola en plein hiver.
Ainsi, pendant près de 35 ans, Coca-Cola diffusa ce portrait du Père Noël dans la presse écrite et, ensuite, à la télévision partout dans le monde.
Et si le Père Noël était un Roi mage?
Une légende russe raconte qu’il existe un 4e Roi mage, qui conduit sur la steppe un traîneau tiré par des rennes et rempli de cadeaux pour les enfants. Depuis 2000 ans il a renoncé à trouver l’enfant Jésus, alors il comble de cadeaux les enfants qu’il rencontre en cours de route.
Source : http://www.joyeux-noel.com/perenoel.html
LA SAINT-NICOLAS
La Saint-Nicolas est une fête populaire chrétienne principalement tournée vers les enfants, mettant en scène le saint Nicolas de Myre. C’est une tradition vivace dans plusieurs pays européens, qui se déroule le 5 et/ou le 6 décembre.
On fête la Saint-Nicolas surtout aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, au nord et nord-est de la France (en Flandre française, dans le département des Ardennes, en Franche-Comté, en Alsace où elle est fortement ancrée, et en Lorraine dont saint Nicolas est le saint patron), en Allemagne, en Autriche, en Croatie, en Hongrie, en Pologne, en République Tchèque, en Roumanie, au Royaume-Uni, en Slovaquie, en Suisse, etc.
Les traditions diffèrent selon les régions. Un trait commun à ces célébrations est la distribution de cadeaux ou friandises aux enfants, qui est parfois substituée par celle du Père Noël.
Extrait de http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Nicolas_(f%C3%AAte)
LA BÛCHE DE NOËL
La bûche de Noël réunissait autrefois tous les habitants de la maison, tous les hôtes du logis, parents et domestiques, autour du foyer familial.
La bénédiction de la bûche avec les cérémonies traditionnelles dont elle se parait n’était que la bénédiction du feu, au moment où les rigueurs de la saison le rendent plus utile que jamais : cet usage existait surtout dans les pays du Nord. C’était la fête du feu, le Licht des anciens Germains, le Yule Log, le feu d’Yule des forêts druidiques, auquel les premiers chrétiens ont substitué cette fête de sainte Luce (Évidemment, Lucie vient du latin lux, lucis, lumière) dont le nom, inscrit le 13 décembre au calendrier, rappelle encore la lumière.
Il est tout naturel qu’on mette en honneur, au vingt-cinq décembre, au cœur de l’hiver, le morceau de bois sec et résineux qui promet de chauds rayonnements aux membres raidis sous la bise. Mais, souvent, cette coutume était un impôt en nature, payé au seigneur par son vassal. À Noël, on apportait du bois; à Pâques, des œufs ou des agneaux; à l’Assomption, du blé; à la Toussaint, du vin ou de l’huile.
Il arrivait aussi, quelquefois, que les pauvres gens ne pouvant se procurer des bûches convenables pour la veillée de Noël, se les faisaient donner. « Beaucoup de religieux et de paysans, dit Léopold Bellisle, recevaient pour leurs feux des fêtes de Noël un arbre ou une grosse bûche nommée tréfouet ». Le tréfeu, le tréfouet que l’on retrouve sous le même nom en Normandie, en Lorraine, en Bourgogne, en Berry, etc. C’est, nous apprend le commentaire du Dictionnaire de Jean de Garlande, la grosse bûche qui devait, suivant la tradition, durer pendant les trois jours de fêtes. De là, du reste, son nom : tréfeu, en latin tres foci, trois feux.
Partout, même dans les plus humbles chaumières, on veillait autour de larges foyers où flambait la souche de hêtre ou de chêne, avec ses bosses et ses creux, avec ses lierres et ses mousses. La porte restait grande ouverte aux pauvres gens qui venaient demander un gîte pour la nuit. On leur versait en abondance le vin, la bière ou le cidre, suivant les contrées, et une place leur était accordée à la table de famille. On attendait ainsi la Messe de minuit.
Qu’on se représente les immenses cheminées d’autrefois : sous leur manteau pouvait s’abriter une famille tout entière, parents, enfants, serviteurs, sans compter les chiens fidèles et les chats frileux. Une bonne vieille grand-mère contait des histoires qu’elle interrompait seulement pour frapper la bûche avec sa pelle à feu et en faire jaillir le plus possible d’étincelles, en disant : « Bonne année, bonnes récoltes, autant de gerbes et de gerbillons. »
La bûche de Noël était un usage très répandu dans presque toutes les provinces de notre vieille France.
Voici, d’après M. J. Cornandet (bibliothécaire de la ville de Chaumont), le cérémonial que l’on suivait dans la plupart des familles :
« Dès que la dernière heure du jour s’était fondue dans l’ombre de la nuit, tous les chrétiens avaient grand soin d’éteindre leurs foyers, puis allaient en foule allumer des brandons à la lampe qui brûlait dans l’église, en l’honneur de Jésus. Un prêtre bénissait les brandons que l’on allait promener dans les champs. Ces brandons portaient le seul feu qui régnait dans le village. C’était le feu béni et régénéré qui devait jeter de jeunes étincelles sur l’âtre ranimé.
Cependant, le père de famille, accompagné de ses enfants et de ses serviteurs, allait à l’endroit du logis où, l’année précédente, ils avaient mis en réserve les restes de la bûche. Ils apportaient solennellement ces tisons; l’aïeul les déposait dans le foyer et tout le monde se mettant à genoux, récitait le Pater, tandis que deux forts valets de ferme ou deux garçons apportaient la bûche nouvelle. Cette bûche était toujours la plus grosse qu’on pût trouver; c’était la plus grosse partie du tronc de l’arbre, ou même la souche, on appelait cela la Coque (Le gâteau allongé en forme de bûche que l’on donne aux enfants le jour de Noël porte encore dans certains pays le nom de coquille ou petite bûche, en patois, le cogneù) de Noël; on y mettait le feu et les petits enfants allaient prier dans un coin de la chambre, la face tournée contre le mur, afin, leur disait-on, que la souche leur fit des présents; et tandis qu’ils priaient l’Enfant-Jésus de leur accorder la sagesse, on mettait au bout de la bûche des fruits confits, des noix et des bonbons.
À onze heures, tous les jeux, tous les plaisirs cessaient. Dès les premiers tintements de la cloche, on se mettait en devoir d’aller à la messe, on s’y rendait en longues files avec des torches à la main.
Avant et après la messe, tous les assistants chantaient des noëls, et on revenait au logis se chauffer à la bûche et faire le réveillon dans un joyeux repas. »
Un vieil auteur, Marchetti, expose le sens religieux de ces pratiques : « La bûche de Noël, dit-il, représente Jésus-Christ qui s’est comparé lui-même au bois vert. Dès lors, continue notre auteur, l’iniquité étant appelée dans le quatrième Livre des Proverbes le vin et la boisson des impies, il semble que le vin répandu par le chef de famille sur cette bûche signifiait la multitude de nos iniquités que le Père Éternel a répandues sur son Fils dans le mystère de l’Incarnation, pour être consumées avec lui dans la charité, dont il a brûlé durant le cours de sa vie mortelle. » J. J. (Semaine religieuse du diocèse de Langres, 23 décembre 1905).
Tiré de www.joyeux-noel.com
LES SUPERSTITIONS DE NOËL
De nombreuses superstitions sont liées au temps de Noël.
Elles expriment la peur du noir, qui engendre des événements terribles.
En même temps, comme pour se rassurer, on accorde à Noël, des pouvoirs de chance.
Les enfants sont bordés dans leur lit depuis des heures, même les plus curieux, ceux qui voulaient voir le Père Noël pour de vrai, se sont assoupis. Et c’est tant mieux, car dehors rôdent des esprits bien étranges.
Des croyances venant des fêtes païennes nous révèlent que la nuit de Noël est la nuit de tous les dangers comme de toutes les chances.
Le Père Noël n’a qu’à bien se tenir, car il n’est pas le seul à circuler dans le ciel, la nuit du 24 décembre. Ce soir là, sorcières et démons surgissent du néant.
Les fantômes, par contre, redoutent cette date et préfèrent disparaître, mais par précaution, on laisse les portes ouvertes à minuit pour permettre aux mauvais esprits de s’en aller.
Malheur à ceux qui se déplacent et de ce fait n’assistent pas à la messe.
On raconte que plusieurs familles se sont égarées dans la nuit noire du 24 décembre et pourtant le cocher expérimenté connaissait bien la route. Le carrosse ainsi que tous les passagers ont été engloutis dans les marécages. Par la suite, leurs fantômes rôdaient chaque veille de Noël.
Pour ceux qui assistent à la messe, il vaut mieux rester assis, car si on sort de l’église au moment de la consécration, on voit les morts faire procession dans le village.
En effet des choses très étranges arrivent pendant que sonne minuit : à ce moment les animaux parlent le langage des hommes, les abeilles s’agitent dans leur ruche, les arbres fruitiers se couvrent de fleurs, qui disparaissent aussitôt au 12e coup de minuit.
Trouvez un noisetier, il y pousse un rameau d’or. Si on parvient à le couper entre les 12 coups de minuit, la richesse est assurée à tout jamais. Mais il faut faire attention, car si on n’a pas le temps de scier la branche, on rejoint les morts.
Durant cette période spéciale entre toutes, l’or est partout. Dans les cimetières par exemple. Si on creuse à minuit un trou, on trouvera une fortune en or.
Les menhirs de Carnac en Bretagne se mettent à tourner trois fois sur eux-mêmes avant d’aller se baigner dans l’océan. Un malin bien renseigné sur les trésors enfouis sous ces pierres attend que l’une de celles-ci se déplace pour descendre dans le trou. Étourdi par le scintillement des pièces d’or, s’il s’attarde trop, le menhir rafraîchi reprend sa place, écrasant l’homme et son trésor.
Un enfant né le jour de Noël est voué à un avenir prometteur. Il sera sauvé de la noyade et de la pendaison. Il jouira toute sa vie de la chance et du bonheur.
Source : http://www.joyeux-noel.com/superstitions.html
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES
Conte d’Andersen
Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l’année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue : elle n’avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu’elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu’elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha ses chaussures; un méchant gamin s’enfuyait emportant en riant l’une des pantoufles; l’autre avait été entièrement écrasée.
Voilà la malheureuse enfant n’ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes : elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s’arrêtait pour considérer l’air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n’avait pas encore vendu un seul paquet d’allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières : de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l’oie, qu’on rôtissait pour le festin du soir : c’était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d’allumettes, l’enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l’une dépassait un peu l’autre. Harassée, elle s’y assied et s’y blottit, tirant à elle ses petits pieds : mais elle grelotte et frissonne encore plus qu’avant et cependant elle n’ose rentrer chez elle. Elle n’y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L’enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? » C’est ce qu’elle fit. Quelle flamme merveilleuse c’était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu’elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d’ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s’éteignit brusquement : le poêle disparut, et l’enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.
Elle frotta une seconde allumette : la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise : elle était couverte d’une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s’étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes : et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien : la flamme s’éteint.
L’enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d’un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs : de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle : l’allumette s’éteint. L’arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles : il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.
« Voilà quelqu’un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l’avait aimée et chérie, et qui était morte il n’y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu’on voit une étoile qui file, d’un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette : une grande clarté se répandit et, devant l’enfant, se tenait la vieille grand-mère.
– Grand-mère, s’écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l’allumette sera éteinte : tu t’évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d’oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.
Et l’enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n’y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin : c’était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l’encoignure le corps de la petite; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d’autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d’un paquet d’allumettes.
– Quelle sottise! dit un sans-coeur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait? D’autres versèrent des larmes sur l’enfant; c’est qu’ils ne savaient pas toutes les belles choses qu’elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c’est qu’ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.
Tiré de http://www.joyeux-noel.com/contesdenoel.html
MESSAGE DE DAVID BERNARD, CONFÉRENCIER
Bonjour! Pour le mois de décembre, j’ai pensé vous offrir de nouveau ce texte sur ce que je considère être vraiment important durant cette période magique. Le plus sincèrement du monde, je vous souhaite, à vous et votre famille, un magnifique temps des Fêtes. J’en profite également pour vous remercier d’avoir contribué, de près ou de loin, à faire de 2010 une année extraordinaire pour moi… grâce à vous, plus de 12 000 personnes reçoivent aujourd’hui ce message!
Amour, paix et lumière
Citations
« Pourquoi Noël arrive-t-il toujours quand les magasins sont bondés? »
– Paulo Vincente
« Il y a quatre âges dans la vie de l’homme : – celui où il croit au Père Noël; – celui où il ne croit plus au Père Noël; – celui où il est le Père Noël; – celui où il ressemble au Père Noël. »
– Anonyme
DONNER CE QUI COMPTE VRAIMENT…
Rappelez-vous le temps des Fêtes lorsque vous étiez enfant… Noël, le jour de l’An! Pour moi, c’était la meilleure partie de l’année : se coucher très tard, jouer plus longtemps, revoir les cousins et les cousines et, bien sûr, tout plein de cadeaux! Jusqu’à un certain Noël où mon père fit une faillite personnelle. Cet hiver-là, j’appris en même temps que mes deux frères que ça allait être, disons, un peu différent, spécialement la taille et la quantité des présents. C’est avec un sourire cachant maladroitement ma déception que j’ai finalement découvert mes présents, une boîte de chocolats Ferrero Rocher emballée ainsi que quelques petites babioles. Évidemment, j’étais déçu, jusqu’à ce que je comprenne quelque chose d’important… Aujourd’hui, je pourrais vous écrire ce que ma famille et moi avons traversé, les cadeaux que je n’ai jamais déballés… je vous offre plutôt ce que j’ai vraiment reçu cette année-là, le plus beau présent qui soit!
Nous vivons dans une société qui nous projette un message clair : si tu souhaites être heureux, achète des trucs. Mange ceci, bois cela, porte cette marque, conduis ce modèle. Et quand ce cirque est-il à son apogée? Hé oui, pendant la période des Fêtes! Comprenons-nous bien, le rituel de donner et recevoir des présents dont nous avons vraiment besoin est amusant et excitant, en plus de servir à témoigner notre amour à nos proches. Après tout, c’est parfois plus facile de le montrer que de le dire, non?
Mes parents n’avaient pas les moyens d’acheter les dernières tendances de cadeaux. Ce fut probablement très difficile pour eux. Imaginez, ne pas pouvoir offrir à ses enfants les choses qu’ils ont demandées au Père Noël… En plus, c’est vraiment mauvais pour la réputation du Père Noël!
Vient un moment où l’on doit regarder ce qui se passe et choisir de prendre les commandes de sa vie. Arrêter de se raconter des histoires dans le déni et apprendre à jouer ses cartes du mieux que l’on peut. Et c’est ce que mes parents ont fait, transformer l’adversité en opportunité en misant sur ce qui comptait vraiment. Ce fut un Noël magique! Comment? Avec des choses simples, mais vraies : nous avons joué à des jeux, rigolé comme des fous et, plus que tout, mes deux frères et moi nous sommes sentis aimés. C’était si fort que, encore aujourd’hui, après plusieurs années, ma famille est toujours très unie, c’est une de mes plus grandes richesses. Pendant cette période, mon père m’a dit pour la toute première fois les mots « Je t’aime »… Le souvenir de mon meilleur cadeau à vie! Un peu comme si, à ce moment, il avait réalisé que, puisqu’il n’avait rien de matériel à offrir, il devait trouver quelque chose d’autre de valeur à donner. C’est de cette façon qu’il réalisa ce qui comptait vraiment, et pas seulement que pour Noël… pour la vie aussi!
Si vous souhaitez vivre des Fêtes magiques cette année, créez des moments magiques dans votre vie. Tout est dans les petits détails, là se cache ce que vous cherchez. Aux réunions de famille, écoutez avec sincérité et ressentez tout le bien que vous pouvez faire seulement avec deux oreilles et un sourire… Donnez de votre temps, de votre énergie et de votre attention. Apprenez à dire « Je t’aime » maintenant si ce n’est déjà fait. Exprimez-le à vos proches et aux personnes qui sont importantes à vos yeux. Faites-le aujourd’hui, il sera peut-être trop tard dans 2, 5 ou 10 ans quand les astres seront alignés et que tout sera parfait et propice… ce n’est jamais parfait et propice à 100 %!!! Le choix est entre vos mains, mes amis. Cette année, je vous encourage à créer des moments sincères, profonds et magiques avec vos proches en donnant ce qui compte vraiment…
Source : Infolettre décembre 2010
NOËL
Noël est une fête chrétienne célébrant chaque année la naissance de Jésus de Nazareth, appelée Nativité. À l’origine, cette fête était païenne et existait sous des formes différentes pour marquer le solstice d’hiver.
Au XXIe siècle, Noël revêt un aspect largement profane. Elle est devenue une fête commerciale et un moment de l’année célébré, y compris par des non-croyants. Cette fête est caractérisée par un regroupement des cellules familiales autour d’un repas et d’un échange de cadeaux, particulièrement (mais pas seulement) à destination des enfants, qui dans plusieurs pays occidentaux associent ces cadeaux au personnage du Père Noël.
Noël est actuellement fixé au 25 décembre dans les calendriers grégorien et julien par la plupart des Églises.
Extrait de http://fr.wikipedia.org/wiki/No%C3%ABl
POUR VOTRE INFORMATION / POUR DIFFUSION
Vous êtes employeur? Vous êtes à la recherche d’une main-d’œuvre compétente?
Un rendez-vous à ne pas manquer : la 4e Journée Contact Employeurs|Personnes handicapées en avril 2011
Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, les entreprises devront diversifier leurs pratiques de recrutement pour rejoindre des bassins de main-d’œuvre souvent ignorés…
Lire la suite au http://www.camo.qc.ca/actualites/communiques.php?eventID=734
Rapport Vivre avec une incapacité au Québec, un portrait statistique à partir de l’Enquête sur la participation et les limitations d’activités (EPLA) de 2001 et 2006
L’Office des personnes handicapées du Québec lançait aujourd’hui le rapport Vivre avec une incapacité au Québec, un portrait statistique à partir de l’Enquête sur la participation et les limitations d’activités (EPLA) de 2001 et 2006.
Lire la suite au http://www.camo.qc.ca/actualites/communiques.php?eventID=733
Un Québécois sur 10 vit avec une incapacité
Au Québec, 10 % des personnes de tous âges ont une incapacité, c’est-à-dire qu’elles sont limitées dans leurs activités en raison de leur état physique ou mental ou d’un problème de santé.
Lire la suite au http://www.camo.qc.ca/actualites/communiques.php?eventID=732
Offres d’emploi
Présentement, plus de 110 postes sont affichés sur le site Internet du CAMO au http://www.camo.qc.ca/offres/