Volume 1, no 16

 

 

 

 

9 octobre 2009

 

Bonjour,

Si vous voulez aider les enfants estriens à bien manger, venez au spectacle bénéfice de Coeur Sans Faim le 14 octobre, au Granada de Sherbrooke, à 19 h. J’ai 5 billets à vendre au coût de 40 $. Au plaisir!!!! 

Je profite du même moment pour relancer mon recueil MON CALEPIN D’ÉMOTIONS. Je verserai 25 % de mes profits à Coeur Sans Faim!

Francis

 

CORRESPONDANCE DE MARC BOURGAULT

Bonjour à chacune et chacun d’entre vous,

Le 16 octobre prochain, je termine mon projet du CLÉ en tant qu’agent de communication de Handi-capable.

Ces deux dernières années ont été pour moi une occasion privilégiée de me réintégrer dans un milieu de travail à la suite de cinq années sans emploi pour cause de maladie.

Mais, pour moi, mon implication à l’organisme a été bien plus qu’un projet.  Ç’a été la découverte de gens formidables de qui j’ai appris les plus belles valeurs humaines.

Je me suis attaché à vous et je me suis enrichi de semaine en semaine et grâce à chacune et chacun, je crois être devenu un meilleur homme qu’avant vous avoir connu.

Je désire donc vous dire toute ma reconnaissance pour l’accueil que vous m’avez fait, le partage si généreux de vos talents, votre affection et votre courage qui m’ont motivé et permis de me réaliser davantage.

J’ai essayé de vous rendre la pareille en vous donnant, je l’espère, le meilleur de moi-même. Aujourd’hui, je me sens membre à part entière de Handi-capable et c’est mon désir d’y demeurer participant, car c’est pour moi bien plus qu’un organisme.

Je me sens avec vous comme dans une famille qui comprend et accepte que chacun de ses membres ait droit à ses limites, ses espoirs, ses réalisations et une sincère reconnaissance mutuelle.

Je remercie tout particulièrement Raymond, Henriette et Marc Pilon qui m’ont fait confiance et m’ont donné une aptitude incroyable qui m’a permis de développer des compétences nouvelles, et cela m’a redonné confiance en mes capacités. Merci, très sincèrement.

J’ai aussi la joie de vous annoncer que j’ai été engagé à Action Plus en tant que secrétaire-réceptionniste. Je commencerai cet emploi le 2 novembre prochain. Je considère que je vous dois en partie cette nouvelle opportunité qui s’ouvre à moi et je suis très heureux de vous l’annoncer.

Au plaisir de vous lire ou de vous revoir. 

Avec toute mon amitié,

Marc Bourgault

 

LES RÉSUMÉS DE RICHARD

The Disability Supports Deduction: A Big Small Step

Caledon Institute for Social Policy (Caledon Institute, 2004)

Résumé

Ce document explique et analyse la politique « Déduction pour produits et services de soutien aux personnes handicapées » annoncée lors du Budget fédéral 2004. S’appuyant sur la « déduction pour frais de préposé aux soins», la nouvelle politique s’applique uniquement dans le cas des personnes sur le marché du travail ou à l’école, ou ceux qui désirent y entrer ou y retourner. Le gouvernement fédéral hésite à lui donner force de loi en raison des coûts élevés attendus concernant les mesures de soutien à l’emploi.

Source : http://www.disabilitypolicy.ca/groups/income/revdocs.php

Recherche : Richard Dion

Résumé maison

 

The Canada Pension Plan Disability Program: Values and Solutions

(University of Victoria, 2003)

Prince, M.J.

Résumé

Une approche globale est essentielle afin de comprendre la fragmentation actuelle du système des politiques de soutien au revenu et des mesures de support au Canada et de parvenir à faire avancer une vision de pleine citoyenneté pour les personnes ayant des incapacités. À l’intérieur de ce document présenté au sous-comité parlementaire de la condition des personnes handicapées, Prince examine quelles sont les valeurs qui devraient être avancées afin d’orienter la réforme sur le système de mesures de soutien au revenu pour les Canadiens ayant des incapacités et offre des suggestions de modèles qui parviendraient à intégrer et respecter ces mêmes valeurs et buts.

Source : http://www.disabilitypolicy.ca/groups/income/revdocs.php

Recherche : Richard Dion

Résumé maison

 

BLAGUE DE HUGUES

Une personne totalement aveugle arrive dans un centre commercial, accompagné de son chien-guide.

Un de ses amis remarque un geste très louche. Il dit à son ami non-voyant : « Que fait-il ton chien mon pote? Il a les yeux partout? »

La personne aveugle lui répond : « Ne t’en fais pas, il jette un coup d’oeil. »

Hugues

 

RECETTE

Bouilli de citrouille, de ma famille Boulet!

Hacher une citrouille en cubes, faire bouillir et piler.

Ajouter une pincée de sel.

Ajouter du lait de façon à ce que la citrouille soit recouverte.

Ajouter 3 tasses de sucre.

Ajouter de la cannelle, au goût.

Savourer et inviter votre ami Francis. (Non, c’est une joke!)

 

PENSÉE

Si nous ne réussissons pas notre vie, c’est parce que nous n’exploitons pas notre plein potentiel.

Francis

 

ACTION DE GRÂCE

Proclamé « journée entièrement consacrée à rendre grâce à Dieu Tout-Puissant pour tous les bienfaits qu’il a prodigués au Canada », le jour d’Action de grâce tient son origine de trois traditions : les fêtes de la moisson dans les sociétés paysannes européennes, dont le symbole est la corne d’abondance; les observances formelles, comme celle de Martin Frobisher dans l’est de l’Arctique en 1578 (le premier jour d’Action de grâce en Amérique du Nord); la célébration organisée par les pèlerins du Massachusetts (1621) à la fin de la première moisson, accompagnée de mets uniquement américains comme la dinde, la courge et la citrouille. La fête se transporte en Nouvelle-Écosse dans les années 1750 et les citoyens d’Halifax commémorent la fin de la Guerre de Sept Ans (1763) par une journée d’Action de grâce. Les loyalistes introduisent la fête dans d’autres régions du pays. En 1879, le Parlement proclame le 6 novembre, jour d’Action de grâce. Il s’agit dès lors d’une fête nationale plutôt que religieuse. La fête a déjà été célébrée à d’autres dates, la plus populaire étant le troisième lundi d’octobre. Après la Première Guerre mondiale, le jour d’Action de grâce et le jour de l’Armistice (plus tard, le jour du Souvenir) sont célébrés la même semaine. Ce n’est que le 31 janvier 1957 que le Parlement proclame le deuxième lundi d’octobre, jour d’Action de grâce. E.C. Drury, l’ancien premier ministre d’Ontario, surnommé le « premier ministre des agriculteurs », se plaint que les villes se soient approprié la fête des agriculteurs afin d’obtenir un long congé en cette belle période de l’année.

Source : http://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=f1ARTf0007935

 

HALLOWEEN

C’était autrefois une fête religieuse. Halloween, mot anglais, est l’abréviation de All Hallow’s Eve, c’est à dire (Hallow venant de Holy : saint). Elle a pourtant une source païenne : une ancienne fête celte en l’honneur du Samhain, dieu de la mort et une fête romaine en l’honneur de la déesse des fruits et des arbres, Pomona. Les couleurs d’Halloween, noir et orange, combinent les deux idées : mort et moisson.

L’habitude de se déguiser en fantômes vient des Celtes qui, autour du feu allumé par les druides pour guider les esprits, s’habillaient d’horribles et effrayants vêtements de façon à ce que les démons les prennent pour d’autres démons et ne leur fassent pas de mal. On prétendait qu’à cette soirée les fantômes sortaient de leurs tombeaux et que les sorcières chevauchaient à travers les airs des balais ou des chats noirs.

La citrouille creusée en lanterne vient aussi des Celtes. Les Anglais et Irlandais creusaient les betteraves, les pommes de terre et les navets pour faire des lanternes d’Halloween. Cette coutume a gagné les États-Unis, où l’on a utilisé alors les citrouilles. On raconte qu’un Irlandais répondant au nom de Jack ne pouvait aller au ciel après sa mort, parce qu’il avait été trop avare. Il ne pouvait pas non plus aller en enfer, car il avait fait de mauvaises plaisanteries au diable. Il fut donc condamné à errer tout autour de la terre avec sa lanterne (à qui il donna son nom).

En Angleterre, Halloween était autrefois appelé « la nuit du casse-noisettes » ou « la nuit de la pomme croquante ». Les familles réunies autour du feu racontaient des histoires tout en mangeant des noisettes et des pommes. Ce jour-là, les pauvres recevaient des gâteaux appelés « les gâteaux de l’esprit ».

Aujourd’hui, Halloween est essentiellement la fête des enfants. Ils se déguisent encore en diables, fantômes, sorcières, vampires et squelettes, etc. Les maisons sont décorées aux fenêtres et aux portes, toujours en rapport avec la coutume, de chauves-souris, chats noirs, hiboux, sorcières, mais surtout de potirons sous toutes ses formes. Les enfants, en groupe, vont de porte en porte, réclamant bonbons et friandises. Et gare à celui qui refuse… Les bons petits diables se vengeront avec toutes sortes se plaisanteries comme savonner les fenêtres, écrire sur les murs, retourner les poubelles, tirer les sonnettes, etc.

Dans les grandes villes, où l’on ne se connaît guère entre voisins, on a plutôt coutume de faire des réunions familiales ou amicales, alors que des feux de joie, des défilés costumés et des danses sont organisés

Halloween est beaucoup plus célébrée aux États-Unis qu’en Grande-Bretagne.

Source : http://chezlorry.ca/EvenSpec/Halloween/Origine.htm

 

VOICI DES BELLES PHOTOS DE SHERBROOKE

 

Pont Jacques-Cartier

 

Il paraît que cette croix rappelle un combat entre deux hommes, sur cette roche…

 

Je vous souhaite un magnifique mois et la prochaine parution sera le 13 novembre 2009.

Francis