Volume 5, no 3

 

 

SORTIES, DOSSIERS ET
DE BONNES NOUVELLES!

 

8 février 2013

 

Bonjour!

Dans ce journal, nous vous suggérons des sorties artistiques, culturelles et sportives. Plusieurs peuvent être faites en famille!

Des faits saillants de chez-nous précèdent un article concernant l’intégration.

Ce journal contient un premier dossier concernant les personnes non-voyantes.

À la suite des découvertes de nos membres, il est bien entendu question de la Saint-Valentin qui approche!

Francis Boulet et Claudia Beauregard

 

RAPPELS

J’anime le chat tous les mardis, dès 19 h. Les thèmes sont divers.

Si vous voulez partager sur le quotidien, ma conjointe Cathy vous attend au https://www.facebook.com/groups/117294255086114/.

Francis Boulet

 

À LA RENCONTRE D’ISABELLE RENAUD

Publié le 24 janvier 2013 à 13h01 | Mis à jour le 24 janvier 2013 à 13h01

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Amélie Boissonneau
La Tribune

Face à l’immensité d’une structure aussi massive que peut l’être un pont, Isabelle Renaud se sent inspirée. À travers le dialogue, voire le contraste qu’elle observe entre ces mastodontes architecturaux et l’eau, l’artiste fait entrer le spectateur dans un univers onirique. De véritables Palais des rivières présentés au Centre culturel Pierre-Gobeil et qui témoignent de l’empreinte de l’homme dans son espace.

Que ce soit dans sa démarche, dans ses médiums de prédilection ou à travers ses sujets choisis, Isabelle Renaud mise sur le croisement. À preuve, avec Palais des rivières II, sa quatrième exposition solo, elle insiste sur la rencontre entre l’homme et l’architecture, de même que sur le mariage entre la peinture et la photographie pour offrir sa propre vision du monde.

Et c’est en se plaçant littéralement sous les ponts Jacques-Cartier, Joffre et Montcalm, des endroits relativement faciles d’accès à Sherbrooke, qu’elle a établi la force du rapport entre l’homme et son environnement.

« On est dans la photo, dans la peinture et dans le dessin. J’ai réuni deux solitudes, deux techniques pour n’en faire qu’une. Pourquoi? Parce que le mariage des deux me permet de créer un troisième univers. C’est toute mon imagination qui entre en ligne de compte », explique celle qui part d’une photographie qu’elle retravaille et superpose d’autres images avant d’y ajouter une touche avec son pinceau ou ses crayons. « Je ne me considère pas comme une photographe, je suis une artiste en arts visuels, tout simplement. »

De la mécanique

À la base de sa démarche, Isabelle Renaud a bien construit de forts piliers. « Mon sujet de prédilection est la mécanique architecturale et humaine. Faire de ces deux thèmes le point central autour duquel gravite mon travail de création, provient d’un désir de dépasser les limites de mon corps et de mon environnement », souligne celle qui doit conjuguer au quotidien avec une mobilité restreinte.

Ce n’est donc pas un hasard si aux côtés des trois grandes toiles de l’installation se retrouve Pas de 2, une oeuvre où se superposent des photos et même une radiographie retouchée au crayon aquarelle construite en huit parties mises sous plexiglass avec vis et écrous. « C’est là toute l’inspiration de ce que je fais, dit-elle en accordant davantage d’importance à l’eau qui, en tant que matière vitale, lui a permis de se réhabiliter.

Dans les prochains mois, [Isabelle Renaud aura] la chance de faire voir encore plus son travail puisque sa candidature a été retenue par le Salon international du design intérieur de Montréal. Elle exposera ensuite à la Galerie Double V de Valcourt au mois de juin prochain. Pour plus d’information : www.isabellerenaud.ca.

Source : http://www.lapresse.ca/la-tribune/la-nouvelle/scene-culturelle/201301/24/01-4614637-a-la-rencontre-disabelle-renaud.php

Note : Les dimanches 10 et 24 février, l’artiste diplômée du Collège de Sherbrooke en arts plastiques est présente pour commenter la visite!

Claudia Beauregard

*Cet article est inspiré d’une information transmise par Norah Humérez-Comtois lors du C. A. de Handi-capable tenu le 25 janvier dernier.

 

CANARVAL DE QUÉBEC

L’origine du Carnaval de Québec se retrouve déjà chez les habitants de la Nouvelle-France. En effet, à cette époque, l’habitude de fêter entre amis et en famille avant les privations du carême était entrée dans les mœurs et déjà nommé carnaval.

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La première fête d’hiver structurée organisée à Québec le fut en 1894. Des festivités hivernales présentées sous le nom de Carnaval eurent lieu épisodiquement à partir de cette année, mais furent interrompues pendant la Première Guerre mondiale, la Grande Dépression de 1929 et la Seconde Guerre mondiale.

En 1954, un groupe de gens d’affaire décida de faire revivre cette tradition. Un personnage, Bonhomme Carnaval, fut créé par Alfred Tétrault, tailleur réputé de la ville de Québec, et des activités furent organisées pour le premier carnaval moderne, du 1er janvier au 22 février 1955. Il s’est répété sans faute tous les ans par la suite, entre la mi-janvier et la mi-février.

Le style du Carnaval a été modernisé depuis le début des années 1990. Les « Duchesses » représentant chacune un secteur de la ville de Québec et parmi lesquelles est élue une « Reine du Carnaval » sont disparues depuis 1997. Plusieurs activités non reliées à l’hiver ont été abandonnées, la consommation sur place de boissons alcoolisées amoindrie; on a enrichi la programmation d’événements culturels, sportifs et familiaux.

Alors qu’il était construit depuis 1973 sur des terrains faisant face à l’Hôtel du Parlement du Québec, le Palais de Bonhomme est déplacé vers les Plaines d’Abraham en compagnie des autres activités familiales du Carnaval en 2012. Cette même année, le Carnaval met l’emphase sur l’aspect nightlife en présentant des spectacles de DJ au Dôme situé derrière le palais de glace, et lors d’une soirée spéciale nommée « La Dégelée ».

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carnaval_de_Qu%C3%A9bec

Vous trouverez la programmation détaillée de cet événement et une foule d’autres renseignements sur le site http://carnaval.qc.ca/.

 

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Vos enfants sont curieux, aventuriers, observateurs et énergiques? Cet hiver, Sherbrooke vous invite à jouer dehors ou en dedans avec vos enfants…

D’abord, direction centre-ville où vous pourrez explorer les mille et un secrets des fresques du circuit des murales. En cherchant et en trouvant les lutins, les coccinelles et les autres petits animaux qui s’y trouvent, vous en apprendrez beaucoup sur l’histoire de Sherbrooke. Après avoir siroté un bon chocolat chaud dans un café du quartier, chaussez vos patins au marché de la Gare de Sherbrooke. Beau temps, mauvais temps, le tout nouveau sentier glacé réfrigéré accueille les patineurs, et ce, jusqu’au mois de mars.

Pour vous réchauffer, les enfants seront émerveillés par l’aventure multisensorielle Terra Mutantès présentée au Musée de la nature et des sciences de Sherbrooke. Aventurez-vous dans la traversée des champs de lave, ressentez la séparation des continents et de la déglaciation. Et quand la terre tremblera, vous aurez des chaleurs garanties et surtout, vous ne verrez plus le paysage des Cantons-de-l’Est du même œil!

Au cœur de la ville, le parc du Mont-Bellevue est un massif naturel de 200 hectares qui réjouira tous les membres de votre famille. C’est l’endroit idéal pour apprendre à skier, s’amuser à patiner et rire en glissant sur les tubes. L’espace convient également aux amateurs de ski de fond et de raquettes.

À l’intérieur comme à l’extérieur, Sherbrooke vous propose une foule d’activités et d’événements pour respirer le grand air et se dégourdir!

Source : http://www.destinationsherbrooke.com/fr/visiteurs/quoi-faire/activites-familiales/index.aspx

 

LES FAITS SAILLANTS CHEZ alt

23 janvier 2013 Raymond Cyr rencontre Jean‑François Denis pour signer une lettre en tant qu’usager du CRE présentant Madame Johanne Tardif et Monsieur Jocelyn Chouinard au programme du Mérite estrien de La Tribune en raison de leur apport novateur à l’évolution des pratiques d’accompagnement spirituel dans les milieux de soins. À suivre!

29 janvier 2013 Marie-Élodie Huon passe avec succès les tests routiers commandés par la alt! Elle devrait recevoir son permis de conduire dans trois semaines.

Félicitations pour cet autre pas vers une plus grande autonomie!

 

L’INTERACTION AVEC LE PERSONNEL DES COMMERCES : UN FACTEUR PRIMORDIAL DE PARTICIPATION SOCIALE

Le premier projet‑pilote réalisé au laboratoire vivant du centre commercial Place Alexis Nihon est pratiquement terminé. Financé conjointement par l’Office des personnes handicapées du Québec et le Réseau provincial de recherche en adaptation-réadaptation, ce projet vise à découvrir et comprendre les facilitateurs et les obstacles à la participation sociale des personnes ayant une incapacité physique dans un centre commercial.

Pour ce faire, une équipe de chercheurs du Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation du Montréal métropolitain (CRIR) a recueilli le point de vue de différents acteurs (personnes handicapées, commerçants et professionnels en réadaptation) sur l’utilisation des centres commerciaux par les personnes handicapées. Des facilitateurs, des obstacles et des points d’amélioration ont ainsi été nommés. Une configuration à angle droit du centre commercial, des ascenseurs adéquats et une signalisation claire sont quelques exemples de facilitateurs; alors que des espaces restreints, notamment dans les cabines d’essayage, des salles de toilette mal adaptées et le manque de portes automatiques sont quelques-uns des obstacles souvent rencontrés.

« Le facilitateur numéro un, c’est l’interaction avec le personnel, affirme Mme Delphine Labbé, coordonnatrice de la recherche. C’est ce que nous ont dit les commerçants, les professionnels en réadaptation et les personnes handicapées. » Selon les participants, le personnel est généralement serviable. Toutefois, les participants ont indiqué que les employés manquent parfois de connaissances sur la façon d’interagir avec la clientèle handicapée, que certains sont mal à l’aise, et que des commerçants manquent d’ouverture. Pour ces derniers, bien déterminer les besoins représente un défi.

« Il faudrait donc développer des séances ou des outils de formation » indique Mme Bonnie Swaine, cochef du projet‑pilote avec Mme Tiiu Poldma. Ce projet ouvre donc la porte au développement d’outils visant à accroître la participation sociale des personnes handicapées dans les centres commerciaux. Des chercheurs du Centre de réadaptation Lucie‑Bruneau, l’un des cinq établissements membres du CRIR, se seraient déjà montrés intéressés à poursuivre dans ce sens.

Extraits de http://www.ophq.gouv.qc.ca/documentation-et-publications/publications/express-o/volume-7-numero-1-janvier-2013/actualites/linteraction-avec-le-personnel-des-commerces.html.

*Cet article est une collaboration de Raymond Cyr.

 

DOSSIER PERSONNES NON-VOYANTES

Campagne de sensibilisation par des non-voyants

sensibilisation

Le mardi 5 février 2013

Auteur : Francis Dufresne

Des citoyens aveugles et amblyopes de la ville de Longueuil sont revenus à la charge avec leur intention de voir la Ville installer de nouveaux feux sonores.

Ils ont tenu une activité de sensibilisation ce mardi pour permettre à des voyants de traverser une intersection achalandée les yeux bandés.

L’événement organisé par l’Association des aveugles et amblyopes du Montréal Métropolitain visait à partager leur réalité de tous les jours.

L’activité s’est déroulée au coin de la rue Mary et du boulevard Taschereau, une traversée importante puisqu’elle mène à l’Hôpital Charles-Lemoyne.

C’est aussi un lieu où des signaux sonores doivent être installés pour faciliter la traversée des personnes ayant une limitation visuelle.

Un citoyen non-voyant, Sylvain Nadeau milite depuis le début des années 2000 pour que la municipalité intervienne.

Il a rappelé le malheureux accident où une femme à été heurtée dimanche dernier au coin des rues Joliette et Saint-Laurent.

Source : http://www.fm1033.ca/?module=directory&action=get&subMod=COM&uid=7839

*Cet article est une collaboration de Raymond Cyr.

Un système de « vision sonore » pour les aveugles de naissance

Un système de « vision sonore » permettant à des aveugles de naissance de percevoir les formes d’un visage, d’une maison, et même de lettres et de mots est mis au point par une équipe de l’Université Hébraïque de Jérusalem. Grâce à ce dispositif, les chercheurs montrent que les zones du cortex cérébral dédiées normalement à la lecture s’activent sous l’effet des stimulations chez les personnes aveugles de naissance. Les résultats de cette étude, réalisée avec le concours de chercheurs du centre de recherche de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière et de NeuroSpin ont été publiés le 8 novembre dans la revue Neuron.

Concrètement, le dispositif comprend une petite caméra vidéo incorporée à des lunettes, un ordinateur portable (ou un Smartphone) transformant l’image en sons, et un casque stéréo pour entendre ces sons. Par exemple, une ligne oblique sera transformée en un son de plus en plus aigu (ou de plus de plus grave). Le même principe permet de coder sous forme auditive des images beaucoup plus complexes.

Les aveugles peuvent atteindre avec ce système une acuité « visuelle » meilleure que celle qui définit la cécité selon les critères de l’OMS.

Après seulement 70 heures d’un entraînement spécialisé, les aveugles parviennent à classer correctement des images en différentes catégories, [à localiser] des personnes présentes dans la pièce ou quelques expressions faciales. Ils parviennent même à lire des lettres et des mots (voir vidéos sur http://brain.huji.ac.il/).

Extraits de http://icm-institute.org/contenu/uploads/2012/12/CP_LC_13112012FR.pdf.

 

LES DÉCOUVERTES DE NOS MEMBRES

La concurrente Emmanuelle Robitaille et l’animateur Mario Tessier à On connaît la chanson.

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Photo fournie par TVA

Emmanuelle Robitaille, étudiante au doctorat en psychologie à Québec a vécu beaucoup d’émotions lors de son passage à On connaît la chanson! Elle a obtenu un cours de conduite, remporté 35 000 $ et reçu une voiture en trouvant les paroles manquantes de la chanson-cadeau

Revoyez ses meilleurs moments au http://tva.canoe.ca/emissions/onconnaitlachanson/videos/138376/.

De plus – SCOOP! – elle sera à l’émission La Voix diffusée sur les ondes de TVA ce dimanche 10 février, 19 h 30.

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L’homme aux trois cerfs-volants a 80 ans; il est Canadien. Il concourt à l’annuelle rencontre International Kite Festival, dans l’état de Washington. Il est sourd. Donc, quand il « vole », tenez-vous les mains et n’applaudissez pas!

Il pilote deux des cerfs-volants avec ses mains et le troisième est attaché à sa taille.

Regardez jusqu’au bout et admirez l’atterrissage incroyable de cette dernière aile! Moi, j’aurais ces cerfs-volants tellement emmêlés, que vous ne pourriez jamais les séparer!

Bien sûr, assurez-vous que le son est activé, car la musique est superbe et reflète très bien la montée en flèche des cerfs-volants. Magnifique!

À voir sur http://www.youtube.com/watch_popup?v=nr9KrqN_lIg.

C’est mon coup de coeur!

Colette Jean

Dans le journal précédent, je vous affirmais que le conte de Raymond Cyr, Les trois ours, était traduit en mi’g ma’q.

L’auteur, m’a précisé qu’il s’agit plutôt de la langue mitchif.

J’ai fait quelques recherches pour découvrir qu’il s’agit d’une langue parlée par les Métis du Canada et des États-Unis.

Le mitchif est unique au monde. Sa structure est complexe : composée de grammaire crie (verbes), de vocabulaire français (noms, adjectifs et genre), d’emprunts aux lexiques d’autres langues amérindiennes, notamment l’ojibwé et le na-dené.

Cette langue mixte qu’est le mitchif ne résulte pas d’un effort de la part d’un groupe pour apprendre la « langue de l’Autre », mais résulte plutôt dans le développement d’un nouvel idiome afin de se distancier de l’un et l’autre groupe d’origine. Par le mitchif, les Métis désiraient se distancier sensiblement tant des autochtones cris (la langue crie) que des francophones blancs (le français). Aujourd’hui, le mitchif est généralement parlé par les aînés d’une soixantaine d’années ou plus, ainsi que dans les communautés situées près des réserves des Premières Nations.

Sources : http://www.metisyouthexpressions.ca/michif-f.php, http://www.mushkeg.ca/fot%201%20episodes%20fr/Ep7/fot_season_one_ep7fr.html, http://forum.autochtones.ca/viewtopic.php?f=11&t=5104, http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tchif et http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amnord/mitchif.htm

Claudia Beauregard

En furetant sur le Web, je suis tombée par hasard sur un site où il y a une vidéo intéressante sur l’expérience de la maternité vécue par une femme lourdement handicapée. C’est bien fait : http://www.doudouworld.com/pages/etre-parents-handicapes/maternite-et-handicap.html.

J’ai trouvé aussi sur YouTube quatre documentaires réalisés en France sur la vie des personnes handicapées; je n’ai vu que des extraits. Cela semble bien fait. Dans la peau d’un handicapé (4 épisodes); voici l’adresse de chacun des épisodes :

Henriette Germain

 

DOSSIER SAINT-VALENTIN

St-Valentin

Carte de Saint-Valentin. vers 1910.

Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux et de l’amitié. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ainsi que des roses rouges qui sont l’emblème de la passion.

À l’origine une coutume païenne, cette fête a finalement été assimilée par l’Église catholique romaine par la désignation de saint Valentin comme saint patron des couples. Le jour de la Saint-Valentin n’aurait pas été associé avec l’amour romantique avant le haut Moyen Âge, mais avec l’amour physique. La fête est maintenant associée plus étroitement à l’échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu’un coeur ou un Cupidon ailé.

À l’envoi de billets au XIXe siècle a succédé l’échange de cartes de voeux. Cependant, en Amérique du Nord, les échanges de cartes ne se font pas selon la conception européenne où la carte de Saint-Valentin est envoyée à une personne « unique ». Il n’est pas rare qu’une personne y envoie une dizaine de cartes, et même que des élèves d’école primaire en envoient à leur maîtresse d’école.

En France, le dessinateur Raymond Peynet est l’auteur d’illustrations emblématiques des « couples d’amoureux » et Georges Brassens a chanté les « amoureux des bancs publics ».

Tiré de http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Valentin.

De l’entrée au dessert!

J’ai trouvé des recettes qui me paraissent super bonnes! C’est même tout un menu pour fêter la Saint-Valentin qui est proposé!

Puisqu’il est interdit de diffuser le contenu sans l’autorisation écrite de Les Éditions Québec Amérique inc., je vous transmets le lien : http://www.coupdepouce.com/recettes-cuisine/idees-repas/fetes/saint-valentin/menu-de-saint-valentin-entre-amis/m/1511.

Bonne dégustation!

Francis Boulet

Les chicanes de couple permettraient de vivre plus longtemps

Avis à ceux qui idéalisent les relations amoureuses sans conflits : réprimer la colère peut raccourcir la longévité des conjoints!

D’après une étude surprenante réalisée en 2008 portant sur 192 couples d’une petite ville du Michigan, aux États-Unis, le risque de mourir serait plus élevé pour les conjoints formant un couple où l’on réprime la colère et évite les conflits.

Cette conclusion résulte de 17 années d’observations au cours desquelles on a classifié les couples selon les attitudes démontrées par les conjoints en situation de conflit.

Parmi les 26 couples composés de partenaires qui évitaient les conflits ou qui communiquaient peu, les risques que les deux conjoints décèdent prématurément étaient quatre fois plus élevés que chez ceux où au moins un des deux conjoints exprimait régulièrement sa colère.

Plus spécifiquement, chez 23 % des couples « sans conflits », les deux conjoints sont morts au cours de l’étude, contre 6 % chez les autres couples. De même, 27 % des couples « sans conflits » ont perdu un conjoint, comparativement à 19 % au sein des autres couples. Ces résultats ont persisté même après avoir isolé les autres facteurs de risque de décès.

Selon l’auteur de l’étude, la résolution de conflits en couple est un enjeu de santé publique, puisqu’en la réprimant, la colère s’ajoute aux autres sources de stress et contribue à écourter la vie.

« Parce que les conflits sont inévitables, le point crucial réside dans la façon dont chaque couple les résout : si vous ne réglez pas le problème, vous êtes vulnérable», conclut Ernest Harburg, professeur en psychologie de l’université du Michigan.

Source : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/05/06/article.php?sid=133752&cid=10

*Cet article est une collaboration de Raymond Cyr.

France : On dénie aux personnes handicapées le droit à la vie affective et sexuelle

Le Centre ressources handicaps et sexualités (Cerhes) vient de voir le jour. Son objectif : promouvoir la santé sexuelle des personnes en situation de handicap – quel qu’il soit – tout en intervenant auprès de leurs proches et des professionnels.

Le Cerhes est un groupement de coopération sociale et médico-sociale dont les missions sont orientées autour de quatre axes :

–Un espace ressources : blog, ouvrages sur le thème de la sexualité et du handicap, outils d’intervention dans le cadre de l’éducation à la sexualité.

–Un espace de recherche et développement pour évaluer les besoins et les aspirations des personnes handicapées, diffuser des bonnes pratiques.

–La formation et la sensibilisation des professionnels.

–L’accompagnement des personnes en situation de handicap et de leurs proches.

Pour en savoir davantage, visiter http://www.viva.presse.fr/On-denie-aux-personnes-handicapees_17331.html.

*Cet article est une collaboration de Raymond Cyr.

 

 

NOS MEILLEURS SOUHAITS D’ANNIVERSAIRE À…
alt Siena Trigiani, née un 12 février
alt Carole Dupont, née un 15 février